Répression - - Sigwarth

Aller au contenu

Menu principal :

Répression

à Monsieur François Molins
Procureur Général de la République
Palais de Justice de Paris

Je porte plainte contre la personnalité morale
de l'Assemblée des Evêques de France
pour contournement des lois de la République Française.
Argument :
Les évêques sont maîtres en leur diocèse.
Ceci, à la base du catholicisme, accepté par la République.
Mais, ce qu'elle ne devrait plus accepter, ni le Vatican,
c'est que ces évêques se soient constitués en
collège gallican glissant à une gouvernance autonome
qui a son Droit, juge, condamne et donne licence d'exécuter, harceler, nuire voire détruire,
aux ramifications de son réseau d'anciens élèves militants, suscitant contre l'auteur une exécration  à la Goebbels : mise au ban de la société et "mise sous le boisseau "  des réalités et évidences que je dévoilais et non à leur convenance , infligeant ainsi à la France, soixante treize ans de retard.
Puis, cachant leurs erreurs, blocages épistémologiques, fautes et crimes en souhait de mort et tentative d'y exciter la société, pour soutenir l'infaillibilité de leur réseau.
Leurs fabulations devenant la vérité.
Usant de fonctionnaires pour différer, égarer réclamations et plaintes.
J'en appelle à l'opinion publique pour un droit de défense plus impossible que refusé, et pour toute aide pouvant reformuler ma plainte devant une Cour de Justice et la soutenir par témoignages vécus tel la brève récapitulation de mon Livre "Répression" joint.

Je conviens, Monsieur le Procureur, du transgressifs pour mon époque, de fragments incompris
parce qu'étant seul à défricher des thématiques interdisciplinaires, longues à acquérir,
passant de la thermique (thèse d'ingénieur) aux quatre fonctions jungiennes (thèse de doctorat en psychologie sociale) dont je sentais, derrière l'idéalisme kantien convenu, dont l'Europe est victime :
le primat de l'Homme, un tout autre salutaire pour l'humanité et le troisième millénaire.
La preuve, j'ai posé à vingt ans, en 1945 au cœur de la guerre,
les mêmes questions qu'un homme de la soixantaine s'est posée en 2016
admiré et respecté de tous, le Pape François, ingénieur, dans "Loué sois-tu" article 160.

Et que vous vous êtes aussi, homme de Droit, posé un jour.
Mais moi, donnant les réponses, suis honni, harcelé, agressé
avec acharnement jusque dans mon petit bien 13 rue de la Tour des Dames
par des procédés captieux énoncés pour la Première audience 5 /12/2017 – 8ièm Chambre.
Mémorandum à Me Canu ci-joint entraînant des harcèlements coordonnés à Amiens, ville aux ordres.
Les Français ne vont jamais croire qu'ils ont été dupés aussi longtemps
et qu'ils se sont prêtés avec autant de complaisance à charger un homme de bonne volonté,
voué par quel sort à formuler leur destin et salut, mais bouc émissaire désigné à leur mépris.

Je vous prie d'agréer, Monsieur le Procureur Général
l'expression de ma très respectueuse considération..
Amiens le 21 octobre 2017    Alain S. Chaignon

 
Retourner au contenu | Retourner au menu ai